création d'histoire

Le soleil se lève, il est tard déjà, les journées sont de plus en plus froides. L’hiver approche, et pourtant cette terrible chaleur m’envahir encore. Tout a brulé, tout est en cendre ! Mon étang ! Celui que je protégeais ! Comment ai-je pu laisser une chose pareille arriver, je n’ais rien pu faire…
Je suis une nymphe pourtant ! C’est mon rôle de protéger mon lieu ! Où vais-je bien pouvoir aller ? Je dois retrouver un endroit où le nom d’Ielenia fera de nouveau rêver. Je dois les retrouver tous ! Il me faut me venger ! Tous les venger ! Ils n’ont même pas eu le temps de fuir, tous mes amis sont morts…
Je pars maintenant, il est temps.

Déambulant dans ce vaste monde, je pensais à mes amis, les bons moments que l'on avait vécu a bord de notre étang. Celui-ci était vaste et d'une eau claire. A la nuit tombée, la lune reflétait sur l'eau annonçant à nous les nymphes le moment de sortir faire la fête. En effet, nous les nymphes aimons faire la fête, qui avait pour but de maintenir l'équilibre de la nature.
Maintenant que je suis seul airant tristement, je me demandais se qu'allais devenir notre si jolie nature ? ....

En réalité je me doutais de ce qui allait advenir d’elle : si on ne faisait rien, elle risquait d’être détruite comme mon étang, mon bois, mes amis… c’est une destruction massive que nous risquons. Mais qu’importe, ils paieront tous bien avant de pouvoir détruite une autre fois… Ils n’auront pas le temps.
J’arrivais devant une chose bien étrange, dans grands blocs de bois creux… c’était la première fois que je sortais de mon étang, enfin que j allais si loin. Et tous ces gens, pourquoi me regardaient-ils comme ca ?

Wow, jamais je n'avais vu quelque chose d'aussi bizarre. Je ne croyais pas aux contes de fée, mais cette créature avait réussi à m'en dissuader. Je me tenais là, dans l'ombre d'une maisonnette à observer sans broncher d'un poil. Je n'étais pas un lâche, mais peut-être que ce qui s'avançais vers le village était dangereux. Avec de grands yeux stupéfaits, je détaillai peu à peu ce à quoi ressemblait cet être étrange. Une femme, j'en étais sur. Elle avait de longs cheveux de couleur blé, des yeux ambrés où l'on décelait une certaine naïveté mélangé de colère, un visage haut doté d'une peau aussi blanche que du lait. Je n'étais qu'un villageois parmis tant d'autres, mais pourtant, à ce moment là, je fut bien le seul à m'approcher de cette mystérieuse créature...

Quand je me fut aprocher je vue que c'ette créature n'avais rien de méchant. Au contraire la créature était une licorne blanche. Aussi afectueux qu'un chat.

Le soleil se lève, il est tard déjà, les journées sont de plus en plus froides. L’hiver approche, et pourtant cette terrible chaleur m’envahir encore. Tout a brulé, tout est en cendre ! Mon étang ! Celui que je protégeais ! Comment ai-je pu laisser une chose pareille arriver, je n’ais rien pu faire…
Je suis une nymphe pourtant ! C’est mon rôle de protéger mon lieu ! Où vais-je bien pouvoir aller ? Je dois retrouver un endroit où le nom d’Ielenia fera de nouveau rêver. Je dois les retrouver tous ! Il me faut me venger ! Tous les venger ! Ils n’ont même pas eu le temps de fuir, tous mes amis sont morts…
Je pars maintenant, il est temps.

Déambulant dans ce vaste monde, je pensais à mes amis, les bons moments que l'on avait vécu a bord de notre étang. Celui-ci était vaste et d'une eau claire. A la nuit tombée, la lune reflétait sur l'eau annonçant à nous les nymphes le moment de sortir faire la fête. En effet, nous les nymphes aimons faire la fête, qui avait pour but de maintenir l'équilibre de la nature.
Maintenant que je suis seul airant tristement, je me demandais se qu'allais devenir notre si jolie nature ? ....

En réalité je me doutais de ce qui allait advenir d’elle : si on ne faisait rien, elle risquait d’être détruite comme mon étang, mon bois, mes amis… c’est une destruction massive que nous risquons. Mais qu’importe, ils paieront tous bien avant de pouvoir détruite une autre fois… Ils n’auront pas le temps.
J’arrivais devant une chose bien étrange, dans grands blocs de bois creux… c’était la première fois que je sortais de mon étang, enfin que j allais si loin. Et tous ces gens, pourquoi me regardaient-ils comme ca ?

Wow, jamais je n'avais vu quelque chose d'aussi bizarre. Je ne croyais pas aux contes de fée, mais cette créature avait réussi à m'en dissuader. Je me tenais là, dans l'ombre d'une maisonnette à observer sans broncher d'un poil. Je n'étais pas un lâche, mais peut-être que ce qui s'avançais vers le village était dangereux. Avec de grands yeux stupéfaits, je détaillai peu à peu ce à quoi ressemblait cet être étrange. Une femme, j'en étais sur. Elle avait de longs cheveux de couleur blé, des yeux ambrés où l'on décelait une certaine naïveté mélangé de colère, un visage haut doté d'une peau aussi blanche que du lait. Je n'étais qu'un villageois parmis tant d'autres, mais pourtant, à ce moment là, je fut bien le seul à m'approcher de cette mystérieuse créature...

Quand je me fut aprocher je vue que c'ette créature n'avais rien de méchant. Au contraire la créature était une licorne blanche. Aussi afectueux qu'un chat.

Mais qu'est-ce que je disait là ?Il y avait une minute, cette créature possédait la forme d'une femme ! Je secouai sauvagement la tête. Que s’était-il passé, avait-elle disparu ? La jolie licorne aussi blanche que la neige passa son chemin dans les acclamations de ''oh '', ''ah '', ''quelle est jolie ''! Je refusais de croire que je devenais fou ! Lorsque je relevai mon regard sur cette étrange bête, je fus surpris que la femme soit réapparue !
- Hey ! Hey, toi ! Ne pars pas si vite !

La nymphe se retourna brusquement, faisant voltiger ses grands cheveux blonds. Les yeux ronds comme des billes, elle semblait complètement perdue. Je la rattrapai et vins me poster devant elle, une mine réprobatrice.
- Comment, humain, as-tu réussi à vaincre mon charme ?
- Charme ? questionnai-je en plissant les yeux .
- J'ai fait un sort qui avait pour but d'illusionner mon apparence. Ici, sur la terre, les licornes sont signe de joie. Je ne comprends, cependant point, le comment tu as réussi à contrer ce...
- Cela suffit, créature ! Vous les nymphes, vous êtes la paresse incarnée, le pêché lui-même ! Vous n'avez pas votre place ici ! Retourne d'où tu viens ! criai-je avec mépris.

La foule, maintenant crispée par le harcèlement que jefaisait à cette pauvre licorne, commencèrent à s'impatienter.
- Où vois-tu une nymphe, pauvre demeuré d'écuyé! cria une femme.
- C'est toi qui devrais retourner d'où tu viens ! Tu vas nous porter malheur ! expliqua sont mécontentement, un autre.
- Mais... Ne voyez-vous donc pas ? Ce n'est pas une licorne ! C'est une illusion, c'est...
- Ah, les hommes, rien à faire avec eux... chuchota la créature blonde.
.
Puis, la nymphe partie, me laissant par terre, incontient. Elle venait de me donner un ensorcellement de dormance pour deux jours.

Le soleil se lève, il est tard déjà, les journées sont de plus en plus froides. L’hiver approche, et pourtant cette terrible chaleur m’envahir encore. Tout a brulé, tout est en cendre ! Mon étang ! Celui que je protégeais ! Comment ai-je pu laisser une chose pareille arriver, je n’ais rien pu faire…
Je suis une nymphe pourtant ! C’est mon rôle de protéger mon lieu ! Où vais-je bien pouvoir aller ? Je dois retrouver un endroit où le nom d’Ielenia fera de nouveau rêver. Je dois les retrouver tous ! Il me faut me venger ! Tous les venger ! Ils n’ont même pas eu le temps de fuir, tous mes amis sont morts…
Je pars maintenant, il est temps.

Déambulant dans ce vaste monde, je pensais à mes amis, les bons moments que l'on avait vécu a bord de notre étang. Celui-ci était vaste et d'une eau claire. A la nuit tombée, la lune reflétait sur l'eau annonçant à nous les nymphes le moment de sortir faire la fête. En effet, nous les nymphes aimons faire la fête, qui avait pour but de maintenir l'équilibre de la nature.
Maintenant que je suis seul airant tristement, je me demandais se qu'allais devenir notre si jolie nature ? ....

En réalité je me doutais de ce qui allait advenir d’elle : si on ne faisait rien, elle risquait d’être détruite comme mon étang, mon bois, mes amis… c’est une destruction massive que nous risquons. Mais qu’importe, ils paieront tous bien avant de pouvoir détruite une autre fois… Ils n’auront pas le temps.
J’arrivais devant une chose bien étrange, dans grands blocs de bois creux… c’était la première fois que je sortais de mon étang, enfin que j allais si loin. Et tous ces gens, pourquoi me regardaient-ils comme ca ?

Wow, jamais je n'avais vu quelque chose d'aussi bizarre. Je ne croyais pas aux contes de fée, mais cette créature avait réussi à m'en dissuader. Je me tenais là, dans l'ombre d'une maisonnette à observer sans broncher d'un poil. Je n'étais pas un lâche, mais peut-être que ce qui s'avançais vers le village était dangereux. Avec de grands yeux stupéfaits, je détaillai peu à peu ce à quoi ressemblait cet être étrange. Une femme, j'en étais sur. Elle avait de longs cheveux de couleur blé, des yeux ambrés où l'on décelait une certaine naïveté mélangé de colère, un visage haut doté d'une peau aussi blanche que du lait. Je n'étais qu'un villageois parmis tant d'autres, mais pourtant, à ce moment là, je fut bien le seul à m'approcher de cette mystérieuse créature...

Quand je me fut aprocher je vue que c'ette créature n'avais rien de méchant. Au contraire la créature était une licorne blanche. Aussi afectueux qu'un chat.

Mais qu'est-ce que je disait là ?Il y avait une minute, cette créature possédait la forme d'une femme ! Je secouai sauvagement la tête. Que s’était-il passé, avait-elle disparu ? La jolie licorne aussi blanche que la neige passa son chemin dans les acclamations de ''oh '', ''ah '', ''quelle est jolie ''! Je refusais de croire que je devenais fou ! Lorsque je relevai mon regard sur cette étrange bête, je fus surpris que la femme soit réapparue !
- Hey ! Hey, toi ! Ne pars pas si vite !

La nymphe se retourna brusquement, faisant voltiger ses grands cheveux blonds. Les yeux ronds comme des billes, elle semblait complètement perdue. Je la rattrapai et vins me poster devant elle, une mine réprobatrice.
- Comment, humain, as-tu réussi à vaincre mon charme ?
- Charme ? questionnai-je en plissant les yeux .
- J'ai fait un sort qui avait pour but d'illusionner mon apparence. Ici, sur la terre, les licornes sont signe de joie. Je ne comprends, cependant point, le comment tu as réussi à contrer ce...
- Cela suffit, créature ! Vous les nymphes, vous êtes la paresse incarnée, le pêché lui-même ! Vous n'avez pas votre place ici ! Retourne d'où tu viens ! criai-je avec mépris.

La foule, maintenant crispée par le harcèlement que jefaisait à cette pauvre licorne, commencèrent à s'impatienter.
- Où vois-tu une nymphe, pauvre demeuré d'écuyé! cria une femme.
- C'est toi qui devrais retourner d'où tu viens ! Tu vas nous porter malheur ! expliqua sont mécontentement, un autre.
- Mais... Ne voyez-vous donc pas ? Ce n'est pas une licorne ! C'est une illusion, c'est...
- Ah, les hommes, rien à faire avec eux... chuchota la créature blonde.
.
Puis, la nymphe partie, me laissant par terre, incontient. Elle venait de me donner un ensorcellement de dormance pour deux jours.



Quand je me réveilla, je me retrouva dans mon lit, une femme était a mon chevet. Ma femme la femme que j'avais épousé.

- Mon cher époux que vous est t-il arrivé?, Me dit elle.

Je lui ai expliqué que mes pensé était flou ce qui n'était pas du tout vrai puisque je me souvenai de tout. La nymphe m'avait ensorcelé.

Le soleil se lève, il est tard déjà, les journées sont de plus en plus froides. L’hiver approche, et pourtant cette terrible chaleur m’envahir encore. Tout a brulé, tout est en cendre ! Mon étang ! Celui que je protégeais ! Comment ai-je pu laisser une chose pareille arriver, je n’ais rien pu faire…
Je suis une nymphe pourtant ! C’est mon rôle de protéger mon lieu ! Où vais-je bien pouvoir aller ? Je dois retrouver un endroit où le nom d’Ielenia fera de nouveau rêver. Je dois les retrouver tous ! Il me faut me venger ! Tous les venger ! Ils n’ont même pas eu le temps de fuir, tous mes amis sont morts…
Je pars maintenant, il est temps.

Déambulant dans ce vaste monde, je pensais à mes amis, les bons moments que l'on avait vécu a bord de notre étang. Celui-ci était vaste et d'une eau claire. A la nuit tombée, la lune reflétait sur l'eau annonçant à nous les nymphes le moment de sortir faire la fête. En effet, nous les nymphes aimons faire la fête, qui avait pour but de maintenir l'équilibre de la nature.
Maintenant que je suis seul airant tristement, je me demandais se qu'allais devenir notre si jolie nature ? ....

En réalité je me doutais de ce qui allait advenir d’elle : si on ne faisait rien, elle risquait d’être détruite comme mon étang, mon bois, mes amis… c’est une destruction massive que nous risquons. Mais qu’importe, ils paieront tous bien avant de pouvoir détruite une autre fois… Ils n’auront pas le temps.
J’arrivais devant une chose bien étrange, dans grands blocs de bois creux… c’était la première fois que je sortais de mon étang, enfin que j allais si loin. Et tous ces gens, pourquoi me regardaient-ils comme ca ?

Wow, jamais je n'avais vu quelque chose d'aussi bizarre. Je ne croyais pas aux contes de fée, mais cette créature avait réussi à m'en dissuader. Je me tenais là, dans l'ombre d'une maisonnette à observer sans broncher d'un poil. Je n'étais pas un lâche, mais peut-être que ce qui s'avançais vers le village était dangereux. Avec de grands yeux stupéfaits, je détaillai peu à peu ce à quoi ressemblait cet être étrange. Une femme, j'en étais sur. Elle avait de longs cheveux de couleur blé, des yeux ambrés où l'on décelait une certaine naïveté mélangé de colère, un visage haut doté d'une peau aussi blanche que du lait. Je n'étais qu'un villageois parmis tant d'autres, mais pourtant, à ce moment là, je fut bien le seul à m'approcher de cette mystérieuse créature...

Quand je me fut aprocher je vue que c'ette créature n'avais rien de méchant. Au contraire la créature était une licorne blanche. Aussi afectueux qu'un chat.

Mais qu'est-ce que je disait là ?Il y avait une minute, cette créature possédait la forme d'une femme ! Je secouai sauvagement la tête. Que s’était-il passé, avait-elle disparu ? La jolie licorne aussi blanche que la neige passa son chemin dans les acclamations de ''oh '', ''ah '', ''quelle est jolie ''! Je refusais de croire que je devenais fou ! Lorsque je relevai mon regard sur cette étrange bête, je fus surpris que la femme soit réapparue !
- Hey ! Hey, toi ! Ne pars pas si vite !

La nymphe se retourna brusquement, faisant voltiger ses grands cheveux blonds. Les yeux ronds comme des billes, elle semblait complètement perdue. Je la rattrapai et vins me poster devant elle, une mine réprobatrice.
- Comment, humain, as-tu réussi à vaincre mon charme ?
- Charme ? questionnai-je en plissant les yeux .
- J'ai fait un sort qui avait pour but d'illusionner mon apparence. Ici, sur la terre, les licornes sont signe de joie. Je ne comprends, cependant point, le comment tu as réussi à contrer ce...
- Cela suffit, créature ! Vous les nymphes, vous êtes la paresse incarnée, le pêché lui-même ! Vous n'avez pas votre place ici ! Retourne d'où tu viens ! criai-je avec mépris.

La foule, maintenant crispée par le harcèlement que jefaisait à cette pauvre licorne, commencèrent à s'impatienter.
- Où vois-tu une nymphe, pauvre demeuré d'écuyé! cria une femme.
- C'est toi qui devrais retourner d'où tu viens ! Tu vas nous porter malheur ! expliqua sont mécontentement, un autre.
- Mais... Ne voyez-vous donc pas ? Ce n'est pas une licorne ! C'est une illusion, c'est...
- Ah, les hommes, rien à faire avec eux... chuchota la créature blonde.
.
Puis, la nymphe partie, me laissant par terre, incontient. Elle venait de me donner un ensorcellement de dormance pour deux jours.



Quand je me réveilla, je me retrouva dans mon lit, une femme était a mon chevet. Ma femme la femme que j'avais épousé.

- Mon cher époux que vous est t-il arrivé?, Me dit elle.

Je lui ai expliqué que mes pensé était flou ce qui n'était pas du tout vrai puisque je me souvenai de tout. La nymphe m'avait ensorcelé.

je repris mon chemin en traversant le village; je me retrouvis dans une forêt.je réfléchissez au pourquoi un simple villageois avez-t-il pu tromper mon charme? cela était impossible!! je continuais à réfléchir tout en regardant ce paysage qui me rapelé vaguement celui que j'avais quitté. je vis un peu plus loin un point d'eau. qu'était-ce?